CH AEV, de Courten, Cn 6bis/28 Clément Crassoz, bourgeois de Loèche, d'une part, et Jean Werraz, clerc, aussi bourgeois de Loèche, d'autre part. Werraz prête à Crassoz 18 livres mauriçoises, argent comptant, dont Crassoz payera la rente annuelle de 18 sous mauriçois à Agnès, fille de Hans Perrini,

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives privées / Privatarchive (Archives)
    - Familles, Personnes / Familien, Personen (Archives)
      - CH AEV, de Courten Courten (de), famille, 1280- (Fonds)
        
        CH AEV, de Courten, Cn Série A, 1280-1841 (Série)
        
        CH AEV, de Courten, Cn 1-8 Parchemins, 1280-1841 (Sous-série)
        
        CH AEV, de Courten, Cn 6bis/27 Guillaume Patrici vend perpétuellement à Pierre Berthod, de Martigny, au nom de sa femme Sibylle, pour une moitié, et au nom des enfants mâles, pour l'autre moitié, une pièce de pré de la contenance de deux fauchées, à Martigny, au lieu-dit ¿en Preux¿, avec fonds et
        CH AEV, de Courten, Cn 6bis/28 Clément Crassoz, bourgeois de Loèche, d'une part, et Jean Werraz, clerc, aussi bourgeois de Loèche, d'autre part. Werraz prête à Crassoz 18 livres mauriçoises, argent comptant, dont Crassoz payera la rente annuelle de 18 sous mauriçois à Agnès, fille de Hans Perrini,
        CH AEV, de Courten, Cn 6bis/29 Stephane Felison, tuteur d'Henselin, fils de feu Janin Felison, contre Antoine Inderebrynt, tuteur d'Isabelle, fille de feu Pierre Rissen, veuve de Janin Felison. La veuve demande la tierce part de tous les biens et l'usufruit selon la coutume du dizain de Loèche. El

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, de Courten, Cn 6bis/28

Titre:

Clément Crassoz, bourgeois de Loèche, d'une part, et Jean Werraz, clerc, aussi bourgeois de Loèche, d'autre part. Werraz prête à Crassoz 18 livres mauriçoises, argent comptant, dont Crassoz payera la rente annuelle de 18 sous mauriçois à Agnès, fille de Hans Perrini, femme de Martin Stevilloz, à qui Werraz les doit annuellement. Crassoz assigne la somme reçue en prêt sur certains biens, dont situation et confins, sur lesquels le créancier aura plein recours, à défaut de solution de la rente annuelle. Il aura la jouissance du fruit jusqu'à ce qu'il ait été remboursé, sans que cela soit déduit de la somme due. S'il s'avère que Werraz ne doit pas à Agnès Perrini une rente de 18 sous annuelle, mais une inférieure, le superflu devra être reconnu et payé à Werraz par Crassoz. A celui-ci est accordé un droit de rachat de cette rente pour les quatre ans immédiatement consécutifs pour le même prix. Passé ce délai, il la devra perpétuellement.