CH AEV, Guillaume de Kalbermatten, P 59/3 Long mémoire du juriste d'Augustini dans un procès en appel au sujet de la succession du curé Pierre Moix d'Evolène entre ses héritiers et ses deux servantes Catherine Georgeoz et Marie Vuignier qu'il avait favorisées par son testament fait le 30 mai 1792.

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives privées / Privatarchive (Archives)
    - Familles, Personnes / Familien, Personen (Archives)
      - CH AEV, Guillaume de Kalbermatten Kalbermatten (de) Guillaume, 14. sc.-20. sc. (Fonds)
        
        CH AEV, Guillaume de Kalbermatten, P Papiers, 1359-1847 (Série)
        
        CH AEV, Guillaume de Kalbermatten, P 59/2 Relation faite par le [juriste Augustini] devant la Diète du Valais au sujet de l'avis des 5 dizains supérieurs relatif à la validité du testament du curé Moix d'Evolène fait le 30 mai 1792 et de la transaction conclue entre les héritiers., 1793 (env.) (Do
        CH AEV, Guillaume de Kalbermatten, P 59/3 Long mémoire du juriste d'Augustini dans un procès en appel au sujet de la succession du curé Pierre Moix d'Evolène entre ses héritiers et ses deux servantes Catherine Georgeoz et Marie Vuignier qu'il avait favorisées par son testament fait le 30 mai 1792.
        CH AEV, Guillaume de Kalbermatten, P 59/4 Mémoire de l'avocat [d'Augustini] en faveur des héritiers ab intestat du curé Pierre Moix; il veut prouver que le testament du curé est sans valeur de même que la convention faite après son décès., 26.04.1796 (Document)

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, Guillaume de Kalbermatten, P 59/3

Titre:

Long mémoire du juriste d'Augustini dans un procès en appel au sujet de la succession du curé Pierre Moix d'Evolène entre ses héritiers et ses deux servantes Catherine Georgeoz et Marie Vuignier qu'il avait favorisées par son testament fait le 30 mai 1792. En décembre 1794, ce testament fut déclaré nul par le vicaire général Pierre Imseng, grand-doyen; contre ce décret Pancrace Panetier avait formé appel (?).