CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 8/22 Lettre de von Mechel. Il a appris par Dürr de Naples qu'on lui faisait des difficultés, vu sa transgression des délais. Il lui demande des précisions sur son cas; Sigrist, qui a traité séparément, s'en tire mal. Il vaut donc mieux s'en remettre au Conseil fé

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives privées / Privatarchive (Archives)
    - Familles, Personnes / Familien, Personen (Archives)
      - CH AEV, Augustin de Riedmatten Riedmatten (de) Augustin, 1300-20. sc. (Fonds)
        
        CH AEV, Augustin de Riedmatten II Riedmatten (de) Augustin II, 19. sc.-1933 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 1-18 Papiers, 19. sc. (Série)
        
        CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 8 Dossier 8. Correspondance officielle. Pièces concernant la demande de retraite et de pension (1861-1865)., 1861 (env.)-1865 (Dossier)
        
        CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 8/21 Lettre de de Bons. Il soumet une ébauche de réclamation (réponse du général le 1er novembre: ébauche parfaite)., 17.11.1861 (Document)
        CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 8/22 Lettre de von Mechel. Il a appris par Dürr de Naples qu'on lui faisait des difficultés, vu sa transgression des délais. Il lui demande des précisions sur son cas; Sigrist, qui a traité séparément, s'en tire mal. Il vaut donc mieux s'en remettre au Conseil fé
        CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 8/23-23bis Le prince d'Ischitella envoie certificat attestant qu'une retraite de colonel suisse avait été promise au général; (ci-joint une copie légalisée)., 15.11.1862 (Dossier)

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, Augustin de Riedmatten II, 8/22

Titre:

Lettre de von Mechel. Il a appris par Dürr de Naples qu'on lui faisait des difficultés, vu sa transgression des délais. Il lui demande des précisions sur son cas; Sigrist, qui a traité séparément, s'en tire mal. Il vaut donc mieux s'en remettre au Conseil fédéral.