CH AEV, Reymondeulaz, Pg 27 Charles de Madiis, de Conthey, expose devant le tribunal de l'évêque que les notaires Théobald Maior et Pierre Medici (Meizoz) ont acheté à Pierre de Madiis, ancien châtelain de Conthey, des biens situés à Riddes. Profitant d'une clause des lois du pays, il demande d'êt

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives privées / Privatarchive (Archives)
    - Familles, Personnes / Familien, Personen (Archives)
      - CH AEV, Reymondeulaz Reymondeulaz Joseph, père et fils, 12. sc.-20. sc. (Fonds)
        
        CH AEV, Reymondeulaz, Pg Parchemins, 12. sc.-1867 (Série)
        
        CH AEV, Reymondeulaz, Pg 26 Echange. François Marion, de Chamoson, cède à Wullierme Gaillard un champ situé en Bergiz et ses droits sur une grange située au même lieu. En retour, ledit Gaillard cède à Marion un raccard situé en Blessonex et un jardin situé au lieu-dit "Saint-André"., 19.04.1539 (D
        CH AEV, Reymondeulaz, Pg 27 Charles de Madiis, de Conthey, expose devant le tribunal de l'évêque que les notaires Théobald Maior et Pierre Medici (Meizoz) ont acheté à Pierre de Madiis, ancien châtelain de Conthey, des biens situés à Riddes. Profitant d'une clause des lois du pays, il demande d'êt
        CH AEV, Reymondeulaz, Pg 28 Echange. Pierre Delaloye, de Saint-Pierre-de-Clages, comme tuteur des frères Pierre et Jacques Balletey, et Pierre Pomey, de Chamoson, agissant au nom d'Isabelle Ballestey, d'une part; et Barthélemy Burrin, de Chamoson, d'autre part, échangent des biens situés dans le t

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, Reymondeulaz, Pg 27

Titre:

Charles de Madiis, de Conthey, expose devant le tribunal de l'évêque que les notaires Théobald Maior et Pierre Medici (Meizoz) ont acheté à Pierre de Madiis, ancien châtelain de Conthey, des biens situés à Riddes. Profitant d'une clause des lois du pays, il demande d'être mis en possession des biens vendus, en dédommageant les acheteurs du paiement effectué, soit 2500 florins. Les acheteurs protestent de la nullité de cette rémission tant qu'ils n'auront pas reçu la somme déboursée par eux. L'évêque admet cette rémission.