CH AEV, Reymondeulaz, P 1805 Cautionnement pour Pascal Maye, chevalier d'industrie. \ Concordataire en faillite. \ Créance insuffisante de gage soit paiement printemps 1937, 3822.20 francs. \ Quittance André Roduit du 11 mars 1937, 800 francs. \ Idem du 28 septembre 1937, 68 francs. \ Paye rembour

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives privées / Privatarchive (Archives)
    - Familles, Personnes / Familien, Personen (Archives)
      - CH AEV, Reymondeulaz Reymondeulaz Joseph, père et fils, 12. sc.-20. sc. (Fonds)
        
        CH AEV, Reymondeulaz, P Papiers, 1299-20. sc. (Série)
        
        CH AEV, Reymondeulaz, P 1595-1979 Documents divers, 1571-20. sc. (Sous-série)
        
        CH AEV, Reymondeulaz, P 1803-1921 Affaires de famille, divers, procès, 1903-1981 (Sous-série)
        
        $CH AEV, Reymondeulaz, P 1804 Souvenir de 1ère communion, image pieuse. \ 1910-1912. Carnet de mots allemands, français, grecs avec leur traduction pour thèmes et versions au collège de Saint-Maurice. \ 1912. Simplon hospice. Lettres du chanoine Terrettaz et du chanoine Ad. Moret, professeur, à la$ CH AEV, Reymondeulaz, P 1804 Souvenir de 1ère communion, image pieuse. \ 1910-1912. Carnet de mots allemands, français, grecs avec leur traduction pour thèmes et versions au collège de Saint-Maurice. \ 1912. Simplon hospice. Lettres du chanoine Terrettaz et du chanoine Ad. Moret, professeur, à la
        $CH AEV, Reymondeulaz, P 1805 Cautionnement pour Pascal Maye, chevalier d'industrie. \ Concordataire en faillite. \ Créance insuffisante de gage soit paiement printemps 1937, 3822.20 francs. \ Quittance André Roduit du 11 mars 1937, 800 francs. \ Idem du 28 septembre 1937, 68 francs. \ Paye rembour$ CH AEV, Reymondeulaz, P 1805 Cautionnement pour Pascal Maye, chevalier d'industrie. \ Concordataire en faillite. \ Créance insuffisante de gage soit paiement printemps 1937, 3822.20 francs. \ Quittance André Roduit du 11 mars 1937, 800 francs. \ Idem du 28 septembre 1937, 68 francs. \ Paye rembour
        CH AEV, Reymondeulaz, P 1806 Assurance vie de J. Reymondeulaz, père., 1920-1936 (Document)

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, Reymondeulaz, P 1805

Titre:

Cautionnement pour Pascal Maye, chevalier d'industrie.
Concordataire en faillite.
Créance insuffisante de gage soit paiement printemps 1937, 3822.20 francs.
Quittance André Roduit du 11 mars 1937, 800 francs.
Idem du 28 septembre 1937, 68 francs.
Paye remboursement Anna Maye-Favre, office des poursuites, du 23.01.1937, 31.20 francs.
Notes Vincent Roten janvier et février 1937, 90 francs.
Rembours du registre foncier mars 1937, 1.65.
Versement du 30 juin 1937 à la Banque Troillet par Banque Populaire Martigny, 129 francs.
Paiement André Roduit par vigne de Praz, 2700 francs.
Autres frais divers concernant cette affaire.
Total 7642.05 francs.
Affaire du Verger contre André Roduit et Pascal Carruzzo.
Plainte contre Pascal Carruzzo le salopard - Citation au Tribunal en main-levée par le salopard contre père (jour de son ensevelissement) pour payer un cautionnement donné en faveur de son propre (!) oncle le chevalier.
Voir au dossier lettre à V. Roten avocat concernant le curriculum vitae (agissements et conduite du chevalier de l'industrie Pascal Maye).
"N.B. Pascal Maye qui a fait une faillite pour environ 150 mille francs (et qui savait si bien flatter père), a été la cause plus ou moins directe de la mort de sa première épouse Esther Carruzzo du conseiller devenue folle qu'on a dû conduire précipitamment à Malévoz où elle ne tarda pas à décéder. Cette malheureuse Esther C., trompée et abusée par son chevalier d'industrie de mari, fit la malencontrueuse bêtise de signer un papier par lequel elle se dépouillait (comme l'a fait ma soeur Angèle par H. Giroud) de tous droits de propriété donc de disposition. - Quand le préposé vint pour saisir chez Pascal Maye et qu'il annonça aussi que les biens d'Esther C. étaient saisis (bâtiment avec le café, etc.), Esther Carruzzo se cabra, protestant que c'était là des biens lui appartenant. Mais le préposé dut lui faire comprendre qu'elle s'était engagée et que lui, préposé, était forcé d'ordonner la saisie et vente... Alors Esther Carruzzo pleura et perdit la raison..."