CH AEV, AV 69/1/32 Le bailli de Courten au secrétaire du pays. Il dit que le monitoire donné à l'abbaye de Saint-Maurice contre le curial Schillig est contraire aux arrêts de 1515 et 1517, qui défendent à toute personne de se servir de monitoire ou d'excommunication de Rome, sous des peines graves

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives de l'Etat / Staatsarchiv (Archives)
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      - CH AEV, AV Archives Valaisannes (Fonds)
        
        CH AEV, AV 69 Correspondance et documents divers, 16. sc.-1877 (Série)
        
        CH AEV, AV 69/1 Lettres originales adressées à l'évêque ou au bailli du Valais, 1530-1795 (Sous-série)
        
        CH AEV, AV 69/1/31 Le bailli de Courten au secrétaire de la Diète. L'ambassadeur de France a promis le paiement des pensions dans peu de temps. Le banneret Roten a reçu des Dizains l'ordre de se tenir prêt pour aller chercher ces pensions au jour qui sera fixé ultérieurement. Il demande que justic
        CH AEV, AV 69/1/32 Le bailli de Courten au secrétaire du pays. Il dit que le monitoire donné à l'abbaye de Saint-Maurice contre le curial Schillig est contraire aux arrêts de 1515 et 1517, qui défendent à toute personne de se servir de monitoire ou d'excommunication de Rome, sous des peines graves
        CH AEV, AV 69/1/33 Thormann, gouverneur de Chillon, annonce au bailli du Valais qu'il sera le lendemain à la porte du Scex, toutes affaires cessantes quoique pressantes, pour y traiter des questions qui doivent maintenir la paix entre les sujets de Berne et ceux du Valais., 08.02.1688 (Document)

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AV 69/1/32

Titre:

Le bailli de Courten au secrétaire du pays. Il dit que le monitoire donné à l'abbaye de Saint-Maurice contre le curial Schillig est contraire aux arrêts de 1515 et 1517, qui défendent à toute personne de se servir de monitoire ou d'excommunication de Rome, sous des peines graves, car cet acte est attentatoire à l'autorité du bailli. La justice doit être rendue au for compétent. Il faut se reporter au traité de 1517, très positif sur cette question.