AcMy Simonetta, C 4.4.2/37 Correspondance de l’avocat Calpini adressée à A. Tissières, avocat à Martigny, en réponse à son courrier du 09.05.1891, dont voici la teneur. « On vous a dit plusieurs fois quand vous (êtes venu) à Domodossola, que, pour vendre les titres que vous avez vus, il fallait le

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Association des Archives de la Commune de Martigny (AACM) (Archives)
  - Archives privées - Familles, Associations, Sociétés (Archives)
    - AcMy Simonetta, 1789-1934 (Fonds)
      - $AcMy Simonetta, C Simon II Simonetta (feu 03.05.1843), de Laurent, époux de Marie Borri \ Habite à Sion en 1789, à Domodossola en 1804, à Martigny en 1816. \ Trois fils : Joseph Marie, Antoine et Jean, 1808-1934 (Série)$ AcMy Simonetta, C Simon II Simonetta (feu 03.05.1843), de Laurent, époux de Marie Borri \ Habite à Sion en 1789, à Domodossola en 1804, à Martigny en 1816. \ Trois fils : Joseph Marie, Antoine et Jean, 1808-1934 (Série)
        
        AcMy Simonetta, C 4 Enfants de Jean Simonetta, de Simon II : Joseph (feu 1889), Louis (en vie en 1860) et Antoine II (1825-1883)., 1836-1934 (Sous-série)
        
        AcMy Simonetta, C 4.4 Hoirie Antoine II Simonetta., 1884-1934 (Sous-série)
        
        AcMy Simonetta, C 4.4.2 Biens sis en Italie., 1884-1934 (Dossier)
        
        AcMy Simonetta, C 4.4.2/36 Correspondance de François Calpini adressée à A. Tissières, avocat à Martigny, en réponse à son courrier du 25.01.1891. Il l’informe que les revenus du Bénéfice Simonetta consistent en quatre obligations contre l’Etat [ici détaillées]. Si les trois premiers titres sont c
        AcMy Simonetta, C 4.4.2/37 Correspondance de l’avocat Calpini adressée à A. Tissières, avocat à Martigny, en réponse à son courrier du 09.05.1891, dont voici la teneur. « On vous a dit plusieurs fois quand vous (êtes venu) à Domodossola, que, pour vendre les titres que vous avez vus, il fallait le
        AcMy Simonetta, C 4.4.2/38 Compte rendu semestriel de François Calpini à Jules Simonetta, négociant à Martigny (03.1891-08.1891, avec détails des comptes)., 22.08.1891 (Document)

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

AcMy Simonetta, C 4.4.2/37

Titre:

Correspondance de l’avocat Calpini adressée à A. Tissières, avocat à Martigny, en réponse à son courrier du 09.05.1891, dont voici la teneur. « On vous a dit plusieurs fois quand vous (êtes venu) à Domodossola, que, pour vendre les titres que vous avez vus, il fallait les rendre au porteur, sans cela personne ne voudrait les acheter ; et pour l’échange à la Direction Générale du « Debito Pubblico » italien, sont nécessaires tous les titres [décrits dans sa dernière lettre]. La production des extraits de décès de vos oncles Louis et Joseph est sans aucun doute nécessaire, puisque le Bénéfice a été racheté aussi (en leurs noms). Pour vous convaincre, vous n’avez qu’à lire l’acte de rachat. En outre : en son vivant, votre beau-père a fait demande au Tribunal, au nom aussi de vos oncles, pour obtenir l’échange des titres du Bénéfice, mais les démarches se sont arrêtées à l’Administration du Débit Public qui réclamait d’autres documents. Monsieur le chevalier Gentinetta pourra aussi vous renseigner à cet égard. Vous pouvez donc vous convaincre qu’en vue de ces circonstances, vos points interrogatifs sont inutiles, et sans documents, on [ne] peut rien faire.
A l’égard de la maison de Caddo, il est évident que l’acheteur, ne sachant que le Bénéfice a été racheté au nom des trois frères Simonetta, et non seulement au nom d’Antoine Simonetta, ne peut pas soulever des difficultés ; et d’ailleurs, ce n’était pas dans l’intérêt du vendeur de faire des réserves, et mettre, comme on dit, un bâton dans les roues, s’il désirait vendre la maison. Mais pour les titres inscrits au Bénéfice Simonetta, l’Administration du Débit Public veut lire l’acte de (rachat), et sur cet acte, on voit le nom des trois frères Simonetta, et non le seul Antoine, et conséquemment, on doit justifier et donner raison des motifs pour lesquels ces droits se sont accumulés sur les héritiers d’Antoine Simonetta.
Comme je vous ai dit dans ma dernière lettre, je vous déclare de nouveau que la pratique est difficile, et je ne peux pas vous en assurer une solution favorable. Je crois vous avoir parlé assez clair pour vous éviter peut-être des frais inutiles. »