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ACMy Marc Morand, 2020/2, C 2.3 Période administrative 1949-1952. \ 1952. Elections communales 1952 – Rapport adressé au parti radical à la fin de la période administrative 1949-1952 par Marc Morand, président de Martigny-Ville, sur l’activité de de l’Administration communale et sur la situation d
Contexte de plan d'archivage |
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Niveau: | Série |
Zone d'identification |
Cote: | ACMy Marc Morand, 2020/2, C 2.3 |
Titre: | Période administrative 1949-1952. 1952. Elections communales 1952 – Rapport adressé au parti radical à la fin de la période administrative 1949-1952 par Marc Morand, président de Martigny-Ville, sur l’activité de de l’Administration communale et sur la situation de la Commune de Martigny-Ville. |
Période de création: | 1949 - 1952 |
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Zone du contenu et de la structure |
Contenu: | Savoir : « L’usage veut que les élus de notre parti donnent à l’expiration de leur mandat un aperçu de la situation de la commune et de l’activité du Conseil municipal pendant la période administrative des quatre dernières années. C’est avec plaisir que nous continuons cette tradition, tout en nous efforçant d’être le plus bref possible dans notre exposé, nécessairement fastidieux à raison des chiffres que nous sommes dans l’obligation de vous communiquer, notamment pour orienter ceux qui n’ont pas assisté à nos dernières assemblées primaires. Comme je le proclamais dans notre dernière grande assemblée du parti radical de Martigny-Ville, le Conseil municipal forme un collège de magistrats travaillant en équipes, solidaires les uns des autres prenant toutes les décisions importantes en assemblée du conseil et assurant ensemble les responsabilités de l’administration. C’est vous dire que les rapports que vous entendrez ce soir doivent être considérés, non pas comme le résumé de l’activité du président ou de tel ou tel conseiller, mais bien du conseil tout entier, lequel s’est efforcé, dans la mesure de ses moyens et dans le cadre des lois en vigueur, de travailler pour le bien de la collectivité, plaçant les intérêts supérieurs de la cité au-dessus des intérêts particuliers.
Malgré l’augmentation de notre dette publique depuis le 31.12.1948 (début de la période administrative qui s’achève), la fortune nette de la Municipalité a passé depuis cette date jusqu’au 31.13.1951 de 871'874 francs à 935'000 francs. Et pourtant, la dette totale qui était à fin novembre 1948 de 888'028,75 francs, y compris la somme de 398'038,75 francs représentant le solde des frais d’assainissement de la Plaine du Rhône, s’élève à fin novembre de cette année à 1’754’402,60 francs se décomposant comme suit : Assainissement de la Plaine du Rhône : Banque cantonale et Compagnie d’assurance La Suisse 344’402,60 francs ; Caisse nationale d’assurance à Lucerne 3,5 % : 370'000 francs ; Rentenansaltz Zürich 3 % : 1'000'000 francs ; Administration mixte ancien hôpital : 40'000 francs ; Total : 1’754’402,60 francs.
En revanche, je m’empresse de le dire, nous disposons au 25.11.1952 à vue, en banque de 636’279 francs, ce qui constitue notre trésorerie. D’autre part, nous devons toucher prochainement de l’Etat et de la Commune de Martigny-Bourg pour avance de fonds dans l’exécution de divers travaux environ 80'000 francs, ce qui fait un total de 716’279 francs. Noter dette doit donc être diminuée de cette dernière somme, ce qui la réduit à ce jour à 1'038'123,60 francs, contre 888'000 francs à fin 1948, d’où une augmentation de 150'094, 85 francs par rapport au 25 novembre 1948 [25.11.1948]. Vous vous étonnerez peut-être du chiffre élevé de notre trésorerie. Cela provient du fait que sur le dernier emprunt d’un million 500'000 francs environ n’ont pas encore été dépensés, mais sont réservés pour les travaux de transformation de l’ancien hôpital et de l’ancienne halle (hall) de gymnastique, dont je vous parlerai tout à l’heure. Cette augmentation de notre dette (150'000 francs) est bien minime, si l’on considère les dépenses extraordinaires que nous avons faites pendant ces quatre dernières années et dont voici les principales : |
| Solde des frais de restauration de l’Hôtel de Ville et d’achat du mobilier : 500'000 francs. Le coût total de ce grand œuvre ascende à 880'000 francs. Il fait honneur à notre cité : Hôtel de Ville et vitrail dont l’admiration de très nombreux visiteurs notamment pendant la saison d’été. Solde des frais de construction et d’aménagement du Parc des Sports, dont le coût total est de 280'000 francs, terrain compris, et qui est aussi apprécié de tous les sportifs : 30'000 francs. Réfection de la rue des Hôtels : 133'800 francs Aménagement de la place vers le garage Borgeat et des parcs devant la Grand’Maison et l’ancien Hôtel Clerc : 31'000 francs. Construction de l’avenue des Epeneys : environ 95'000 francs. Ouverture de la rue de la Moya entre l’avenue de la Gare et la route du Simplon : 53'000 francs. Achat de deux parcelles de terrain en bordure de l’avenue du Collège : 15'500 francs. Construction de la route dite des Usines aux Vorziers : 17'500 francs. Achat de terrains et commencement de la construction entre l’avenue de la Gare et la route du Simplon, vers les bâtiments Mathey – Guareschi : 18'000 francs. Conduite d’eau potable, gaz, électricité et égouts pour ces différentes rues : 40'000 francs. Achat de l’ancien hôpital avec dépendances et terrains : 70'000 francs. [Total] 1'003'000 francs, soit un million en chiffres ronds. |
| Une bonne partie de ces dépenses a été couverte par le compte de la gestion courante, ce qui explique l’augmentation relativement très faible de 150'000 francs de notre dette publique. Il vous intéressera peut-être de savoir qu’en 1951 les recettes de la Municipalité se sont élevées à 765'242 contre 751'886 francs de dépenses. Dans ces chiffres, les Services industriels ne sont pas compris. Les impôts sont de l’ordre de 550 à 570'000 francs environ. Le taux n’a pas changé depuis trente-deux ans. Bien mieux : soucieux d’aider les familles des petite et moyens contribuables, le Conseil communal, sans aucun obligation légale, accorde à ceux-ci une réduction d’impôt de 8 à 12 francs par enfant, jusqu’à l’âge de 16 ans.
Messieurs, mes collègues du Conseil vous parleront tout à l’heure des dicastères respectifs dont ils ont la charge, je me bornerai donc à quelques renseignements sur les autres activités de la Municipalité. Et d’abord, à tout seigneur tout honneur, je veux dire : l’instruction publique. Notre collège municipal, avec tous les cours qui s’y donnent, est une véritable ruche, encore plus bourdonnante depuis que, dans le but surtout de faciliter les mamans dans leur tâche journalière, nous avons décidé d’ouvrir une nouvelle classe enfantine et d’y accepter les enfants dès l’âge de 5 ans. Beaucoup d’entre vous, surtout ceux qui n’ont pas été élèves de nos écoles, ignorent peut-être ce que fait dans ce domaine la Commune, en sus de ses obligations légales, et il est bon qu’on le sache.
Nous avons créé, il y a quelques années, une école primaire supérieure à deux degrés ; outre le personnel enseignant ordinaire, nous avons engagé un maître de gymnastique et un professeur pour l’enseignement du chant. Depuis longtemps, la Municipalité a institué, à ses frais, l’étude après la classe au collège, elle fournit gratuitement le matériel scolaire aux élèves (dépense de 8'155 francs l’année dernière), elle offre à tous les écoliers la grande promenade scolaire et, bien avant qu’elle ne soit devenue obligatoire, nous avions institué dans notre commune l’assurance maladie obligatoire pour tous nos élèves de nos écoles publiques. Chaque élève reçoit deux décilitres de lait pasteurisé pendant trois mois d’hiver ; ce lait est fourni gratuitement aux familles dans la gêne. De plus, pendant la mauvaise saison, le repas de midi est payé par la Commune aux élèves du Guercet, et tous les mois, pendant l’année scolaire, tous nos élèves bénéficient gratuitement de douches à l’eau chaude. Enfin, grâce à notre participation financière et au local que nous lui fournissons, le Service médico-pédagogique fonctionne depuis plusieurs années dans notre commune, exerçant son action bienfaisante su bon nombre d’enfants. |
| Nous avons rendu l’enseignement ménager obligatoire avant le délai fixé par la nouvelle loi sur la matière et, aujourd’hui, nous avons la satisfaction d’avoir à Martigny-Ville une école ménagère modèle qui groupe toutes les jeunes filles de la Ville, du Bourg, de La Bâtiaz, de Martigny-Combe, de Charrat et de Bovernier à l’Institut Sainte Jeanne-Antide, avec lequel lesdites communes ont passé une convention. Cette nouvelle école régionale, munie de toutes les installations modernes, est fréquentée par environ septante élèves, et est confiée à un personnel expérimenté et dévoué, sous la surveillance d’une commission comprenant un délégué par commune. Je signale aussi qu’ensuite d’une entente intervenue entre la Commune de La Bâtiaz et la nôtre, les élèves de cette commune fréquentent depuis deux ans nos écoles primaires et sont ainsi placés sous la direction de notre Commission scolaire. Ces deux événements, école ménagère régionale et transfert chez nous des écoles de La Bâtiaz, ne peuvent qu’augmenter le rayonnement de notre cité. Je saisis cette occasion pour exprimer à la Commission scolaire et au personnel enseignant les remerciements de la Municipalité pour le dévouement qu’ils apportent dans l’accomplissement de leur tâche.
Un autre poste important de notre Administration communale est celui qui concerne l’assistance publique. La plupart d’entre vous ignorent sans doute que les dépenses de ce dicastère, pour notre commune qui ne compte que 3'600 ânes, sont actuellement de l’ordre de 70 à 75'000 francs par an, ce qui représente une moyenne de 200 francs par jour. Mais il s’agit ici d’un devoir social autant que de charité, auquel une Municipalité, consciente des tâches non seulement matérielles mais humanitaires qui lui incombent, n’a pas le droit de se soustraire. La pauvreté n’est pas une tare, ceux qui en souffrent ne doivent pas être méprisés, mais bien au contraire secourus par les pouvoirs publics, dans les limites de leurs possibilités et des dispositions légales. Vous constatez, par les renseignements que je viens de vous fournir sur l’activité de notre Conseil, notamment dans le domaine de l’instruction publique et de l’assistance, que le Conseil communal de Martigny-Ville s’efforce de donner à son administration un caractère social qui fait honneur à l’esprit civique et progressiste de notre population. Nous avons d’ailleurs créé une commission qui porte le nom d’office social, dont vous entretiendra tout à l’heure notre collègue président de cette commission.
Les sociétés locales font aussi l’objet de la sollicitude de la Municipalité, car elle sait bien qu’elles sont un élément de la vie de la cité, notamment de la formation de la jeunesse et un facteur précieux de la concorde entre ses habitants à quelque parti qu’ils appartiennent, puisque les sociétés subventionnées ne revêtent pas de caractère politique. |
| Voici encore quelques renseignements concernant les Services industriels. Le Service de l’électricité maintient une situation stable. Depuis que la commune l’a repris à son compte, il y a trente-quatre ans, le prix du kwh n’a pas changé. L’augmentation du nombre d’abonnés va de pair avec l’accroissement des charges toujours plus grandes de l’éclairage public, se sorte que le bénéfice annuel ne varie guère d’une année à l’autre. Nous envisageons d’améliorer d’ici peu l’éclairage de certaines de nos rues.
Il n’en est malheureusement pas de même du Service du gaz, lequel, depuis plusieurs années, boucle régulièrement par des déficits. Cette année encore nous prévoyons un déficit de 15'000 francs environ. Cette situation s’explique d’une part par le prix très élevé de la houille américaine, qui représente les deux tiers de nos achats de houille, d’autre part à raison de l’état de nos conduites souterraines datant de 1907 qui sont la cause d’une grande perte de gaz, mais que nous ne pourrions pas remettre en état sans d’immense frais, en disproportion évidente avec l’avantage qui en résulterait. Le Conseil communal devra envisager des mesures sérieuses pour alléger ce boulet qui pèse lourd dans la balance de nos comptes.
Quant au Service des eaux (eau potable et mesures contre l’incendie), nous pouvons affirmer que, grâce au captage des nouvelles sources dans le vallon de Champex et à l’amenée de leurs eaux jusqu’en Ville, notre commune n’aura plus à craindre la pénurie d’eau, à moins d’événements naturels imprévisibles. Ces travaux, avec quelques modifications à faire encore au réseau actuel, représentent une dépense d’environ 380'000 francs pour notre commune. Cette circonstance nous a obligé à augmenter les tarifs d’abonnement qui étaient restés les mêmes depuis quarante-cinq ans. Les nouveaux tarifs sont au reste inférieurs à ceux appliqués dans les autres localités urbaines du canton. Je crois aussi vous intéresser en vous disant que bien qu’elle soit de première qualité, analyse bactériologique et complète chaque quinze jours de mai à octobre et une fois dans l’hiver chaque mois. |
| Voilà, mes chers concitoyens, sous réserve de ce que vous proposeront tout à l’heure mes collègues, un résumé de l’activité du Conseil communal pendant ces quatre dernières années. La prochaine période administrative ne sera pas une période de chômage pour le Conseil qui sera élu samedi et dimanche prochain. Nous avons décidé la remise en état et l’aménagement de bureaux et d’appartements dans l’ancien hôpital, que, après de laborieux pourparlers, nous avons pu acquérir l’année dernière à des conditions très favorables. La gendarmerie sera dotée de nouveaux locaux eu rez-de-chaussée et les bureaux de la douane deviendront plus confortables. Des appartements y seront réservés pour les fonctionnaires de ces services et l’un ou l’autre appartement pourra être loué à des particuliers. Il s’agit d’une dépense de 320 à 330'000 francs, mais dont l’intérêt nous est déjà assuré par les contrats de bail qui seront passés incessamment. L’ancienne halle de gymnastique, contigüe aux dépendances et au jardin de l’ancien hôpital, sera complètement transformée et agrandie, pour servir en premier lieu de cantonnement pour la troupe et les bureaux militaires et ensuite de salle pour les sociétés. Un préau couvert sera construit à proximité de ce bâtiment et une spacieuse place y sera aménagée. Cette dépense est nécessaire, si nous voulons être à même de recevoir la troupe dans des conditions convenables. Je pense qu’il est superflu d’insister sur les avantages que procure au commerce local la présence de troupe dans la cité. La correction de la route de Fully, dès le Courvieux, au pont du chemin de fer est en voie d’exécution depuis quelques jours, et nous espérons voir continuer ce travail jusqu’à l’avenue du Nord dès l’année prochaine. En prévision de futures constructions égouts et eau potable, l’Etat nous versera de ce fait une subvention de 70 % du coût de l’œuvre. La route de la Maladière, c’est-à-dire, pour ceux auxquels ce nom n’est pas familier, la route qui part de la rue du Rhône pour aboutir à la gare CFF, sera également remise en état et élargie. Ces travaux sont d’autant plus urgents que le car postal Fully – Martigny emprunte ces routes et que nous devons tout faire pour maintenir cette liaison d’une utilité incontestable pour notre commerce local.
Parmi les autres travaux d’édilité, nous envisageons la grande route transversale que projette l’Etat depuis l’entrée nord de La Bâtiaz, longeant la voie ferrée du Martigny – Châtelard passant ensuite devant les abattoirs pour rejoindre la route du Simplon par la nouvelle avenue créée cette année, vers la boulangerie Lonfat. A l’occasion de la réfection par l’Etat de la route du Simplon, des trottoirs seront aménagés le long de cette route à l’entrée de la localité, de sorte que toutes les voies d’accès à l’arrivée de Martigny seront en parfait état et ne pourront que donner un attrait de plus à notre ville. L’avenue, déjà amorcée près des bâtiments Mathey et Guareschi, entre l’avenue de la Gare et la route du Simplon, sera également ouverte à la circulation. Le Conseil projette la création d’un jardin d’enfants en bordure de l’avenue du Collège municipal, emplacement judicieusement choisi à l’abri du vent et des dangers de la grande circulation. La piscine, si longtemps convoitée, est définitivement inscrite au programme des tâches de la nouvelle administration, et verra très vraisemblablement le jour déjà en 1953. Enfin, Messieurs, l’événement que nous considérons comme capital pour notre cité par l’apport touristique qui le caractérisera est la construction de la nouvelle route de la Forclaz, devisée à plus de 12 millions. La participation de notre commune à ce grand œuvre sera vraisemblablement de l’ordre de 350'000 francs. |
| Mes chers concitoyens, avant de terminer cet exposé, nécessairement aride par la multitude des chiffres qu’il contient et que pourtant il était de notre devoir de vous mettre sous les yeux, permettez-moi d’exprimer notre gratitude à la population de Martigny et en particulier à notre parti, pour la compréhension et la confiance qu’ils nous ont témoignées pendant ces quatre ans, qui certes ne furent pas des années de chômage pour vos élus. Nos remerciements vont aussi à tous nos collaborateurs, employés et ouvriers qui ont œuvré pour la commune avec dévouement et compétence. Tous, nous ne devons rechercher qu’un seul but dans l’accomplissement de notre tâche quelque peu spectaculaire parfois, mais le plus souvent obscure : le bien général de notre chère commune. Vous savez que dans une administration aussi complexe que celle d’une commune, il est impossible de donner satisfaction à tout le monde et que, s’il est agréable de dire oui aux requêtes qui affluent sur la table des délibérations du Conseil, il faut aussi savoir dire non si notre conscience de magistrat nous le dicte. ¨ Mais je me hâte de le proclamer, notre localité peut être citée en exemple pour l’esprit civique de ses habitants, pour la confiance qui se manifeste entre les autorités et la population, et si tout n’est pas parfait, il n’en reste pas moins que cet état d’esprit, que nous envient maintes autres communes, permet à ceux qui ont la responsabilité de l’Administration communale de remplir leur devoir avec sérénité, certains de l’appui de la grande majorité des citoyens à quelque parti qu’ils appartiennent, heureux de voir notre cité se développer et prospérer dans la paix et la concorde entre ses habitants qui, pour nous magistrats, ne forment qu’une grande famille. Puissent les élections de cette année se dérouler dans le calme et la dignité, et consacrer une fois de plus la ferme volonté de nos concitoyens de maintenir à Martigny cet esprit de progrès, de tolérance et de véritable liberté, honneur été gloire du parti libéral-radical auquel plus que jamais nous devons proclamer notre attachement en le faisant triompher une fois de plus dans notre chère ville, pour le plus grand bien de la collectivité. » |
| Mots-clefs : 1949-1952. Achat de l’ancien hôpital de Martigny ; Enseignement ménager obligatoire ; Captage de la source Marioty Chf 380'000.- pour la commune (1949).
Papier, 1 exemplaire dactylographié avec corrections manuscrites. |
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Utilisation |
Fin du délai de protection: | 31/12/1952 |
Autorisation nécessaire: | Aucune |
Consultabilité physique: | Sans restriction |
Accessibilité: | Publique |
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URL vers cette unité de description |
URL: | https://scopequery.vs.ch/detail.aspx?ID=396253 |
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