CH AcMy Mixte, 1010 Le 03.03.1836, le Conseil de Martigny-Ville avait écrit à l'évêque de Sion [Maurice-Fabien Roten] que l'hôpital n'avait pas reçu le legs d'Emmanuel Ganioz et que les prescriptions épiscopales basées sur ce legs devaient être considérées comme nulles. L'évêque lui répond que ce

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Association des Archives de la Commune de Martigny (AACM) (Archives)
  - Archives publiques - Communes et Bourgeoisies (Archives)
    - CH AcMy Mixte Martigny-Mixte - Ancienne grande commune, 14. sc.-1935 (Fonds)
      - CH AcMy Mixte Fonds principal, 14. sc.-1935 (Sous-fonds)
        
        CH AcMy Mixte, 951-1014 Hôpital, 1462-1935 (Série)
        
        CH AcMy Mixte, 1009 L'évêque Maurice-Fabien Roten écrit aux présidents et conseillers de Martigny qu'il a découvert, lors de la visite de la paroisse, que le châtelain Emmanuel Ganioz avait légué 1'000 écus à l'Hôpital de Martigny à charge d'y introduire des religieuses qui tiendraient école et vi
        CH AcMy Mixte, 1010 Le 03.03.1836, le Conseil de Martigny-Ville avait écrit à l'évêque de Sion [Maurice-Fabien Roten] que l'hôpital n'avait pas reçu le legs d'Emmanuel Ganioz et que les prescriptions épiscopales basées sur ce legs devaient être considérées comme nulles. L'évêque lui répond que ce
        CH AcMy Mixte, 1011 Le docteur Claivaz écrit au Conseil Mixte de Martigny que le testament de son beau-père contient un legs en faveur de l'hôpital et le prie de venir en retirer le titre., 24.05.1842 (Document)

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AcMy Mixte, 1010

Cotes anciennes:

CH AEV, Martigny-Mixte, 1010

T 33

Titre:

Le 03.03.1836, le Conseil de Martigny-Ville avait écrit à l'évêque de Sion [Maurice-Fabien Roten] que l'hôpital n'avait pas reçu le legs d'Emmanuel Ganioz et que les prescriptions épiscopales basées sur ce legs devaient être considérées comme nulles. L'évêque lui répond que ce legs a été fait puisqu'on ne l'a pas contredit quand il en a parlé lors de sa visite et qu'il maintient ses ordonnances que le Bourg a reçues sans opposition.