CH AEV, AC Isérables, Pg 94 A cause de la poste qui régnait à Isérables, la commune de Riddes avait obtenu, en vue d'éviter que la contagion se répande, que les morts d'Isérables ne soient pas portés au cimetière de Riddes mais enterrés à Isérables en un lieu convenable. Ceux d'Isérables demandent

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Isérables Isérables, Commune / Paroisse, 1270-1975 (Fonds)
      - CH AEV, AC Isérables Fonds principal, 1270-1970 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Isérables, Pg Parchemins, 1295-18. sc. (Série)
        
        CH AEV, AC Isérables, Pg 93 La commune d'Isérables représentée par Claude Vulliamo, de la Crettaz, Michel Gillioz, syndics, promettent à Pierre Piccard, Catherine, épouse de Claude Fort, présents, chacun agissant pour sa part, de mettre des limites sur leurs champs du Larsey et de maintenir les ha
        CH AEV, AC Isérables, Pg 94 A cause de la poste qui régnait à Isérables, la commune de Riddes avait obtenu, en vue d'éviter que la contagion se répande, que les morts d'Isérables ne soient pas portés au cimetière de Riddes mais enterrés à Isérables en un lieu convenable. Ceux d'Isérables demandent
        CH AEV, AC Isérables, Pg 95 Jean Mutter de Barthélemy de Haute-Nendaz vend aux syndics d'Isérables Jacques Marlet et Noé Larsey, agissant pour leur commune, trois moulins et un foulon à fouler le chanvre, quelques constructions avec pré, une grange, au pied du mont d'Audes, pour le prix de mille f

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Isérables, Pg 94

Titre:

A cause de la poste qui régnait à Isérables, la commune de Riddes avait obtenu, en vue d'éviter que la contagion se répande, que les morts d'Isérables ne soient pas portés au cimetière de Riddes mais enterrés à Isérables en un lieu convenable. Ceux d'Isérables demandent que cette manière de faire ne soit que transitoire, c'est-à-dire durant le temps de peste seulement, et qu'ils ne soient pas privés de la sépulture au cimetière paroissial de Riddes, eux qui forment la moitié de la paroisse. Le doyen et official de Sion Adrien de Riedmatten fait droit à leur demande.