CH AEV, AC Isérables, P 176 Fragment d'un autre mémoire tendant à prouver que la contribution d'Isérables au maintien du pont de Riddes ne constituait pas un devoir, à en juger par la manière dont elle se faisait, le bois nécessaire étant demandé chaque fois au Conseil par une lettre d'invitation

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Isérables Isérables, Commune / Paroisse, 1270-1975 (Fonds)
      - CH AEV, AC Isérables Fonds principal, 1270-1970 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Isérables, P Papiers, 1270-1970 (Série)
        
        $CH AEV, AC Isérables, P 175 Liste des immeubles sis sur la commune d'Ardon pour les propriétaires Gaspard Meizoz et Jean-Claude Putallaz. \ En quatrième page, une liste de fournitures ou de livraisons faites en 1798 et 1799., 1798 (env.)-1799 (Document)$ CH AEV, AC Isérables, P 175 Liste des immeubles sis sur la commune d'Ardon pour les propriétaires Gaspard Meizoz et Jean-Claude Putallaz. \ En quatrième page, une liste de fournitures ou de livraisons faites en 1798 et 1799., 1798 (env.)-1799 (Document)
        CH AEV, AC Isérables, P 176 Fragment d'un autre mémoire tendant à prouver que la contribution d'Isérables au maintien du pont de Riddes ne constituait pas un devoir, à en juger par la manière dont elle se faisait, le bois nécessaire étant demandé chaque fois au Conseil par une lettre d'invitation
        CH AEV, AC Isérables, P 177 Lettre de la municipalité d'Isérables adressée aux corps législatifs demandant, vu la pauvreté de leurs concitoyens, à être exempte de fournir chaque année une contribution importante au curé de Leytron qui ne rend aucun service pastoral aux gens d'Isérables, alors qu'i

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Isérables, P 176

Titre:

Fragment d'un autre mémoire tendant à prouver que la contribution d'Isérables au maintien du pont de Riddes ne constituait pas un devoir, à en juger par la manière dont elle se faisait, le bois nécessaire étant demandé chaque fois au Conseil par une lettre d'invitation de la part de l'évêque.