CH AEV, AV 68/5/2 Le bailli Martin Clausen à l'évêque. Il lui remet une copie d'une lettre qui lui a été remise secrètement par le major de Münster. Cette lettre a été envoyée à l'insu du bailli et de l'évêque qu'elle ne nomme pas. Cela lui a paru étonnant, c'est pourquoi il expose la chose à l'év

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives de l'Etat / Staatsarchiv (Archives)
    - Anciens fonds de l'Etat / alte Bestände des Staates (Archives)
      - CH AEV, AV Archives Valaisannes (Fonds)
        
        CH AEV, AV 68 Grand bailli, évêque, dizains, diète, 1521-1797 (Série)
        
        CH AEV, AV 68/5 Dizain de Conches, 1554-1616 (Sous-série)
        
        CH AEV, AV 68/5/1 Lettre du bailli [Martin] Clausen d'Ernen à l'évêque, le priant de relever le prévôt d'Evian de son serment. Un litige qui pouvait être appelé soit au ressort épiscopal, soit au ressort diétal ou baillival, divisait François Compollini de Vouvry et le prévôt Pierre d'Evian. On tr
        CH AEV, AV 68/5/2 Le bailli Martin Clausen à l'évêque. Il lui remet une copie d'une lettre qui lui a été remise secrètement par le major de Münster. Cette lettre a été envoyée à l'insu du bailli et de l'évêque qu'elle ne nomme pas. Cela lui a paru étonnant, c'est pourquoi il expose la chose à l'év
        CH AEV, AV 68/5/3 Le major, le Conseil, la commune de toute la paroisse d'Ernen prient l'évêque, qui leur a envoyé le calendrier réformé (grégorien), de ne pas les obliger à s'en servir et de les laisser à l'ancien, comme leurs ancêtres. Ils promettent obéissance exacte en toute autre affaire., 05

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AV 68/5/2

Titre:

Le bailli Martin Clausen à l'évêque. Il lui remet une copie d'une lettre qui lui a été remise secrètement par le major de Münster. Cette lettre a été envoyée à l'insu du bailli et de l'évêque qu'elle ne nomme pas. Cela lui a paru étonnant, c'est pourquoi il expose la chose à l'évêque afin qu'il en délibère avec les bourgeois de Sion. Il le prie de faire connaître cette décision et annonce qu'il a ordonné au major de répondre qu'il valait mieux laisser en plan l'affaire, qui ne lui paraît pas urgente.