CH AEV, AC Chalais, Pg 87 Décret pour la défense des biens communs de Chalais et Vercorin. Par devant François Perruchoud, métral de l’évêque de Sion, à l’instance de Jodoc Salamolar et Pierre Portiz, procureurs de la communauté de Chalais et Vercorin, il est décrété que nul communier ne cause du

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Chalais Chalais, Commune, 1316-1950 (Fonds)
      - CH AEV, AC Chalais Fonds principal, 1316-1950 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Chalais, Pg Parchemins, 1316-1784 (Série)
        
        CH AEV, AC Chalais, Pg 86 Echange. Boniface Namon, vice-châtelain de Vercorin, François Greppo, vice-châtelain de Chalais et François Allegro, comme procureurs de la communauté de Chalais et Vercorin, cèdent à François Perruchoud, métral de l’évêque de Sion, agissant comme tuteur des enfants de Je
        CH AEV, AC Chalais, Pg 87 Décret pour la défense des biens communs de Chalais et Vercorin. Par devant François Perruchoud, métral de l’évêque de Sion, à l’instance de Jodoc Salamolar et Pierre Portiz, procureurs de la communauté de Chalais et Vercorin, il est décrété que nul communier ne cause du
        CH AEV, AC Chalais, Pg 88 Sentence. En diète, Jacques de Lovina, lieutenant de Sierre, agissant pour la communauté de Chalais, se plaint que, comme Saint-Léonard n’avait pas entretenu les barrières du Rhône comme il avait été convenu, le châtelain de Granges a interdit l’usage des pâturages de l’î

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Chalais, Pg 87

Cotes anciennes:

C 37

Titre:

Décret pour la défense des biens communs de Chalais et Vercorin. Par devant François Perruchoud, métral de l’évêque de Sion, à l’instance de Jodoc Salamolar et Pierre Portiz, procureurs de la communauté de Chalais et Vercorin, il est décrété que nul communier ne cause du dommage aux biens communs de la communauté, selon le décret déjà porté le 7 juin 1683.