CH AEV, AC Vollèges, Pg 10 L'abbé de Saint-Maurice rend notoire ce qui suit. Comme un litige s'est élevé entre Béatrice, veuve de Jeannod, fils de Martin de Cries, et Jeannod Luy du Levron, prieur de la confrérie du Saint-Esprit et du corps du Christ de Vollèges, Béatrice disait que le prieur tena

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Vollèges Vollèges, Commune, 1299-1956 (Fonds)
      - CH AEV, AC Vollèges, Pg Parchemins (Série)
        
        CH AEV, AC Vollèges, Pg 9 Pierre Vyllen de Vaez, Maurice Luy du Levron, et le Grand Jean de Vollèges (Viluegium), procureurs de la communauté de Vollèges, reprochent à leur curé, Raymond de Chuez, d'avoir planté des arbres fruitiers et autres au lieu-dit Pascuer, au détriment de la communauté. En
        CH AEV, AC Vollèges, Pg 10 L'abbé de Saint-Maurice rend notoire ce qui suit. Comme un litige s'est élevé entre Béatrice, veuve de Jeannod, fils de Martin de Cries, et Jeannod Luy du Levron, prieur de la confrérie du Saint-Esprit et du corps du Christ de Vollèges, Béatrice disait que le prieur tena
        CH AEV, AC Vollèges, Pg 11 Jean de Liddes, demeurant à Bagnes, a fait son testament le 23 avril 1330. A sa demande, en ce jour, le notaire y a inséré les clausules suivantes : il lègue à l'église Saint-Martin de Vollèges 12 deniers maur. de rente annuelle et autant à la confrérie du lieu., 10.11.1

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Vollèges, Pg 10

Cotes anciennes:

D 118

Titre:

L'abbé de Saint-Maurice rend notoire ce qui suit. Comme un litige s'est élevé entre Béatrice, veuve de Jeannod, fils de Martin de Cries, et Jeannod Luy du Levron, prieur de la confrérie du Saint-Esprit et du corps du Christ de Vollèges, Béatrice disait que le prieur tenait injustement deux prés qui étaient de l'héritage de son époux et devaient lui être rendus. Le prieur rétorquait que ces prés avaient été donnés en aumône aux confréries et qu'il devait servir à Béatrice une redevance annuelle tant qu'elle vivrait. L'abbé, à la prière du prieur, de dom Reymond, curé de Vollèges, et de plusieurs autres, sanctionne cette manière de faire à la condition que ces deux prés soient remis à un membre des confréries, qui les exploitera au nom des mêmes confréries.