CH AEV, AC Vollèges, P 175 Devant Pierre Fillier, lieutenant du châtelain de la vallée de Bagnes, comparaît Antoine Pinelli, syndic du Plan de Vollèges, demandant que les bans généraux concernant les bois, les pâturages et les biens communs soient rendus obligatoires pour toute la paroisse de Voll

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Vollèges Vollèges, Commune, 1299-1956 (Fonds)
      - CH AEV, AC Vollèges, P Papiers (Série)
        
        CH AEV, AC Vollèges, P 174 Procédure. Robert Pellaux comparait devant le tribunal de l'évêque de Sion contre les Sembranchards possessionnés sur Vollèges pour les contraindre à payer la taille, soit 10 quarts pour chaque portion de bien taxée à 100 florins. En opposition, paraît François Troillet,
        CH AEV, AC Vollèges, P 175 Devant Pierre Fillier, lieutenant du châtelain de la vallée de Bagnes, comparaît Antoine Pinelli, syndic du Plan de Vollèges, demandant que les bans généraux concernant les bois, les pâturages et les biens communs soient rendus obligatoires pour toute la paroisse de Voll
        CH AEV, AC Vollèges, P 176 Procédure entre la commune de Vollèges et Bernard Magnineti au sujet de la possession de terres situées ès Rabochières, de la clôture en amont. La procédure se déroule devant la curie du Bas-Valais et de Bagnes, elle est encore en cours en août 1535., 30.10.1534-07.1535

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Vollèges, P 175

Titre:

Devant Pierre Fillier, lieutenant du châtelain de la vallée de Bagnes, comparaît Antoine Pinelli, syndic du Plan de Vollèges, demandant que les bans généraux concernant les bois, les pâturages et les biens communs soient rendus obligatoires pour toute la paroisse de Vollèges. En opposition comparaît Vuillerme Aubert de Chemin, syndic du Levron, niant la validité de ces bans parce qu'ils sont imprécis et n'ont pas fait l'objet d'un consentement cormmun. Le 23 juillet a lieu une autre session où les Levronins développent leur point de vue.