CH AEV, AC Savièse, Pg 103 Quittance de la vente qui suit. Nicolas de Chevron, vidomne de Sion et Sierre vend à la commune de Savièse, tous les droits féodaux qu'il a en ladite commune, pour la somme de 601 livres maur. Eschatocole coutumier. Mais la charte initiale s'étant perdue, on l'a refaite

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Savièse Savièse, Commune, 1297-1951 (Fonds)
      - CH AEV, AC Savièse Fonds principal, 1268-1911 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Savièse, Pg Parchemins, 1297-1806 (Série)
        
        CH AEV, AC Savièse, Pg 102 Sentence épiscopale donnant aux Saviésans le droit de tailler les propriétés des Contheysans sises outre Morge sur le terroir de Savièse, la Morge faisant limite entre les 2 communes, à défaut d'autre limite. Ce droit ne vaut que pour l'occasion présente suscitée par la
        CH AEV, AC Savièse, Pg 103 Quittance de la vente qui suit. Nicolas de Chevron, vidomne de Sion et Sierre vend à la commune de Savièse, tous les droits féodaux qu'il a en ladite commune, pour la somme de 601 livres maur. Eschatocole coutumier. Mais la charte initiale s'étant perdue, on l'a refaite
        CH AEV, AC Savièse, Pg 104 Nicolas Kalbermatter, pâtissier à Sion, vend au nom des hommes de St. Martin et de quelques hommes de Sion, pour 220 florins (11 x 20) de Savoie, à la commune de Savièse, 21/80èmes de la dîme dite de Pippon perçue dans la vallée de Bagnes qui appartint autrefois à George

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Savièse, Pg 103

Titre:

Quittance de la vente qui suit. Nicolas de Chevron, vidomne de Sion et Sierre vend à la commune de Savièse, tous les droits féodaux qu'il a en ladite commune, pour la somme de 601 livres maur. Eschatocole coutumier. Mais la charte initiale s'étant perdue, on l'a refaite 6 ans plus tard. Il y a ici un parachronisme évident. Le scribe, par un lapsus calami, a rétro daté la quittance et c'est probablement 1544 et non 1534 qu'il faut lire.