CH AEV, AC Vérossaz, P 57 Mandat de Jean-François Zen Ruffinen, gouverneur de Saint-Maurice, aux syndics de Vérossaz, à l'instance de ceux de la bourgeoisie de Saint-Maurice, au sujet du bornage effectué pour séparer les biens particuliers des communs sans l'autorisation du châtelain et du conseil

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Vérossaz Vérossaz, Commune, 1178-1974 (Fonds)
      - CH AEV, AC Vérossaz, P Papiers, 1178-1969 (Série)
        
        CH AEV, AC Vérossaz, P 1-590 Papiers divers, 1178-1954 (Sous-série)
        
        CH AEV, AC Vérossaz, P 56 Acte d'échange. Jean Longeaz Chambovey, de Vérossaz, cède à Jeanne Sallien, épouse de François Sallien, une terre située à Montaney rière Vérossaz et reçoit en retour les droits de Jeanne Sallien sur une terre située "en Jorneaux" indivise avec lui., 28.04.1737 (Document)
        CH AEV, AC Vérossaz, P 57 Mandat de Jean-François Zen Ruffinen, gouverneur de Saint-Maurice, aux syndics de Vérossaz, à l'instance de ceux de la bourgeoisie de Saint-Maurice, au sujet du bornage effectué pour séparer les biens particuliers des communs sans l'autorisation du châtelain et du conseil
        CH AEV, AC Vérossaz, P 58 Par devant Joseph-Antoine Defagoz, capitaine et châtelain de Saint-Maurice, Pierre Barmen, de Vérossaz, agissant comme tuteur des hoirs de feu Baptiste Barmen, a fait citer François-Claude Chassé, de Vérossaz, qui avait acheté des oncles desdits pupilles une Gièthe située

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Vérossaz, P 57

Titre:

Mandat de Jean-François Zen Ruffinen, gouverneur de Saint-Maurice, aux syndics de Vérossaz, à l'instance de ceux de la bourgeoisie de Saint-Maurice, au sujet du bornage effectué pour séparer les biens particuliers des communs sans l'autorisation du châtelain et du conseil de Saint-Maurice. Il leur ordonne en conséquence d'arracher les bornes de sorte qu'il ne reste aucun vestige ou, en cas d'opposition, de comparaître par devant lui le 29 courant, pour justifier leur conduite.