CH AEV, AC Bovernier, P 178 Lettre de Ducrey au curé de Bovernier. Le rachat, fait selon l'acte de fondation rétabli par l'acte de visite de Monseigneur Roten (1835), est juste. Il a dû recourir à la voie légale parce que toute entente à l'amiable s'était révélée inefficace. Il reconnaît que le bé

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Bovernier Bovernier, Commune, 1346-1993 (Fonds)
      - CH AEV, AC Bovernier, 2011/25, 1346-1982 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Bovernier, P Papiers, 1346-1956 (Série)
        
        CH AEV, AC Bovernier, P 177 Lettre du curé Abbet à Ducrey. Les conditions faites par le rachat des dîmes sont inacceptables et ne lui permettent pas de vivre. Si elles ne sont pas promptement changées, il démissionnera., 10.06.1856 (Document)
        CH AEV, AC Bovernier, P 178 Lettre de Ducrey au curé de Bovernier. Le rachat, fait selon l'acte de fondation rétabli par l'acte de visite de Monseigneur Roten (1835), est juste. Il a dû recourir à la voie légale parce que toute entente à l'amiable s'était révélée inefficace. Il reconnaît que le bé
        CH AEV, AC Bovernier, P 179 Lettre du prévôt à la commune de Bovernier, au nom du Chapitre. Il proteste contre le rachat des dîmes opéré par le tribunal civil et le regarde comme nul jusqu'à ce que l'autorité ecclésiastique ait tranché l'affaire. Si la population de Bovernier ne s'incline pas, le

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Bovernier, P 178

Cotes anciennes:

Titre:

Lettre de Ducrey au curé de Bovernier. Le rachat, fait selon l'acte de fondation rétabli par l'acte de visite de Monseigneur Roten (1835), est juste. Il a dû recourir à la voie légale parce que toute entente à l'amiable s'était révélée inefficace. Il reconnaît que le bénéfice est pauvre et serait d'accord que le Saint-Bernard et la commune s'en remettent à des arbitres à ce sujet.