CH AEV, AC Granges, P 823/30 Pétition de Thomas Brunton et du fondé de pouvoirs de Th. Nodler Brunton au Conseil d'Etat du Valais: le 26 août, ils ont assumé la construction à leurs frais des digues du Rhône sur 1800 toises. En décembre 1842, la commune avait traité provisoirement avec M. Dumaine,

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Granges Granges, Commune / Bourgeoisie, 1297-20. sc. (Fonds)
      - CH AEV, AC Granges Fonds principal, 1297-20. sc. (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Granges, P Papiers, 1297-20. sc. (Série)
        
        CH AEV, AC Granges, P 823 Ferme agricole de Granges., 1839 (env.)-1844 (Dossier)
        
        CH AEV, AC Granges, P 823/29 Billet de Brunton au conseiller d'Etat Torrent, lui demandant son appui pour une pétition importante., 11.09.1843 (Document)
        CH AEV, AC Granges, P 823/30 Pétition de Thomas Brunton et du fondé de pouvoirs de Th. Nodler Brunton au Conseil d'Etat du Valais: le 26 août, ils ont assumé la construction à leurs frais des digues du Rhône sur 1800 toises. En décembre 1842, la commune avait traité provisoirement avec M. Dumaine,
        CH AEV, AC Granges, P 823/31 Séance du Conseil de la commune, sous le président Maurice Gillioz et le secrétaire Jacques Roh. Le Conseil décide que le président Gillioz s'adressera au Conseil d'Etat pour faire approuver la déchéance de Dumaine. Extrait attesté conforme à Granges, le 12 septembre 1

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Granges, P 823/30

Titre:

Pétition de Thomas Brunton et du fondé de pouvoirs de Th. Nodler Brunton au Conseil d'Etat du Valais: le 26 août, ils ont assumé la construction à leurs frais des digues du Rhône sur 1800 toises. En décembre 1842, la commune avait traité provisoirement avec M. Dumaine, déchu faute d'exécution. Ils demandent l'annulation de cette Convention et la reconnaissance de leur caractère officiel, selon décret du 3 décembre 1842.