CH AEV, AC Ayent, Ay 108 Arrêt interdisant le "charavaria" et taxant les personnes qui peuvent être incommodées par cette coutume. La jeunesse avait coutume de faire un charivari à toute personne convolant en seconde, troisième, quatrième noce, etc. On pouvait s'y soustraire en payant à boire et à

Contexte de plan d'archivage

Archives Valais / Archiv Wallis (Institution)
- Archives de l'Etat du Valais (AEV) / Staatsarchiv Wallis (StAW) (Archives)
  - Archives des Communes, Bourgeoisies et Paroisses / Gemeinde-, Burger- und Pfarrarchive (Archives)
    - CH AEV, AC Ayent Ayent, Commune / Paroisse, 1320-1981 (Fonds)
      - CH AEV, AC Ayent Fonds principal, 1306-1964 (Sous-fonds)
        
        CH AEV, AC Ayent, Ay Parchemins, 1306-1854 (Série)
        
        CH AEV, AC Ayent, Ay 107 Arrêt en vue de réprimer les vols dans les jardins et les vergers. La plupart des hommes d'Ayent, réunis au lieu ordinaire de leurs délibérations, arrêtent que chacun devra dénoncer aux gardes préposés à la sécurité des récoltes toute personne qu'il surprendrait en vol fla
        CH AEV, AC Ayent, Ay 108 Arrêt interdisant le "charavaria" et taxant les personnes qui peuvent être incommodées par cette coutume. La jeunesse avait coutume de faire un charivari à toute personne convolant en seconde, troisième, quatrième noce, etc. On pouvait s'y soustraire en payant à boire et à
        CH AEV, AC Ayent, Ay 109 Inspection de lieux dans un litige. Savièse et Sion sont en litige au sujet des eaux de la Sionne. L'official a ordonné une inspection des lieux, soit des "Fontanys" où passe le bisse de Savièse s'alimentant dans la Sionne. François Archiour, Romain de Canali pour les deux

Niveau:

Document

Zone d'identification

Cote:

CH AEV, AC Ayent, Ay 108

Titre:

Arrêt interdisant le "charavaria" et taxant les personnes qui peuvent être incommodées par cette coutume. La jeunesse avait coutume de faire un charivari à toute personne convolant en seconde, troisième, quatrième noce, etc. On pouvait s'y soustraire en payant à boire et à manger à la jeunesse. Il en résultait des injustices et des inégalités. On décide donc la suppression de la coutume et d'imposer à toute personne convolant en seconde noce, etc. dans la commune le paiment d'une taxe dite des "prémices de noces" dont le montant sera de 10 ou 20 sous mauriçois selon le degré de fortune et si elle habite la commune. Mais, si elle habite hors de la commune et en dessous de la Morge, elle paiera une taxe de 4 livres hors de la commune et en dessus de la Morge de 4 florins. Le produit de ces taxes sera affecté à la réparation du "Bitallaz".